LA CHIRURGIE ESTHÉTIQUE COMME SOURCE DE BIEN-ÊTRE, CELA SE CONFIRME

La chirurgie esthétique améliore le bien-être des patients après une opération, en plus de sa capacité à sublimer et à restaurer l’harmonie du corps humain.

Les patients se sentent non seulement mieux dans leur corps, mais aussi dans leur cerveau, après que leurs complexes aient été supprimés ou atténués.

Malgré le fait qu’il semble aller de soi, l’impact psychologique de la chirurgie esthétique n’a jamais été étudié et quantifié jusqu’en 2013, date à laquelle une étude a été publiée dans la revue « Psychological Science » par un groupe d’universitaires. Cette recherche a porté sur près de 500 patients (87 % de femmes, 13 % d’hommes), ainsi que sur 264 personnes intéressées par la chirurgie (mais n’y ayant jamais eu recours) et sur un groupe de 1000 personnes sans opinion sur la question. Il s’agit de la première étude de ce type à se pencher sur les effets psychologiques de la chirurgie esthétique.

Aucune variation de la santé mentale, de la dépression ou d’autres facteurs n’a été constatée entre les trois groupes en ce qui concerne les effets de la chirurgie esthétique. Pour ce faire, des objectifs raisonnables ont été définis.  » Se sentir mieux « ,  » Éliminer les défauts  » et  » Développer une plus grande confiance en soi  » en faisaient partie.

Trois, six et un an plus tard, les patients ont été à nouveau évalués par les chercheurs. Il en est ressorti que les participants ont d’abord cru avoir atteint leur objectif. Par la suite, les patients se sont sentis : par rapport aux deux autres groupes qui n’ont pas subir une opération esthétique :

  • Plus en forme.
  • Moins agités
  • Bien sûr, le chirurgien plastique était satisfait de la zone du corps où il était intervenu.
  • Mais, plus largement, ils étaient satisfaits de leur corps et de son fonctionnement.
  • Avec un regain de confiance en soi.

Enfin, s’il fallait une preuve, cette recherche à long terme démontre que la chirurgie esthétique affecte non seulement le bien-être physique mais aussi mental des patients.

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